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Festival de Ménigoute


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40 !

C'est la quarantième édition du Festival de Ménigoute, dans un mois nous y serons, du 29 octobre au 3 novembre 2024. Depuis 1985, un rassemblement chaque année a fait graviter de plus en plus de féru.es de nature jusqu'à relever le pari inédit de comptabiliser plus de 30 000 visites sur une semaine dans un village qui en compte moins de mille, Ménigoute.

C'est la 40e fois et on ne s'en lasse pas, mieux, on en redemande et on innove pour avancer malgré l'actualité politique qui s’enlise. Le Festival de Ménigoute met tout en œuvre pour concocter toutes sortes d'animations autour du vivant, mais aussi organiser une grande fête en son honneur. Il est encore temps de réserver votre place pour assister au spectacle d'ouverture des Chanteurs d'Oiseaux pour la 40e édition du Festival de Ménigoute le mardi 29 octobre.

Rejoignez le mouvement de ce grand rendez-vous, tout naturellement, et découvrez un avant goût de la programmation au travers de la bande-annonce de l'édition !

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© BANDE-ANNONCE DU 40e FESTIVAL DE MÉNIGOUTE | MUSIQUE : 'RESOLUTIONS' BY SCOTT BUCKLEY - RELEASED UNDER CC-BY 4.0 WWW.SCOTTBUCKLEY.COM.AU | IMAGE : EXTRAITS DE FILMS EN COMPÉTITION OFFICIELLE | MONTAGE : LOUISE JACQUOT



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UN JURY AU COMPLET

Le 40e jury de la compétition de films du Festival de Ménigoute compte six personnes professionnelles venues par le cinéma ou par l'amour de la nature, et souvent un savant mélange des deux. En tant qu'amateur d'aventure et d'expédition, le capitaine du jury et cinéaste documentariste Bruno Vienne pourra compter sur une belle troupe ; Delphine Piau, monteuse de documentaires ; Didier Gobbo, biologiste-écologue et administrateur et trésorier de l'association Nos Oiseaux ; Daniela Ott, pédagogue par la nature et conseillère en éducation à la nature et membre du conseil d’administration de la fédération Connaître et Protéger la Nature ; Coraline Molinié, réalisatrice de documentaires et Bernard Marchiset, président de la LPO Bourgogne Franche-Comté et administrateur à la LPO France. Bon voyage au cœur de ces 44 films en compétition !

RENCONTRE AVEC BRUNO VIENNE, PRÉSIDENT DU JURY

Tombé dans la marmite du cinéma animalier quand il était petit, Bruno Vienne est réalisateur de documentaires avec une quarantaine de films à son actif. C'est en tant qu'assistant que le cinéaste a fait ses armes, et pas n'importe lesquelles. Sous l'aile du duo de Gérard Vienne, son oncle, et de son acolyte François Bel, le cinéaste participe à un cinéma animalier pionnier. Ici on ne se précipite pas, on saisit les contours d'un environnement avant de prétendre le capter en images et en sons. C'est une éthique qu'on chérit et un objectif aux antipodes des récits édulcorés ou anthropomorphiques : la vie transcrit, avec tout autant de magie.

BRUNO VIENNE © AVIJIT SARKAR


ENCHANTÉ.E !

J'avais six mois à peine quand mon père m'a emmené dans son sac-à-dos avec ma mère faire le massif du Grand Paradis dans les Alpes pour y filmer les bouquetins. Passer la première année de sa vie dans un sac-à-dos avec ses parents qui filment les animaux, ça imprègne et ça oriente peut-être un peu la suite. Ma famille s'intéressait beaucoup au cinéma animalier, assez rare à l'époque. Mon père et mon oncle Gérard Vienne se sont initiés au format 16mm en allant faire leurs premiers films dans les marais de la Picardie. Plus tard j'ai rejoint une école de photographie, l'école Louis-Lumière à Paris, et en parallèle je travaillais comme apprenti dans un laboratoire de photographie.

La grande aventure avec Gérard Vienne et François Bel

J'ai eu la chance inouïe d'être l'assistant des pionniers du cinéma animalier Gérard Vienne et François Bel sur leur film La Griffe et la Dent. Ma première mission était de charger les magasins avec les bobines de pellicules pour les caméras. Ensuite, je devais entretenir le matériel avec minutie puisque chaque bobine était précieuse et ne durait que quatre minutes. Tout devait être impeccable, des rouages aux caméras. Une de mes autres tâches était de transporter de lourdes charges car tout ce qui concernait la pellicule représentait un poids considérable, des tonnes de matériel pour se préparer à aller filmer en nature au milieu de réserves africaines pendant plusieurs mois.

Direction l'Afrique de l'Est. Ici comme dans beaucoup d'endroits du pays, et du monde, la colonisation a transformé les terres à sa guise. Les réserves créées délimitent des zones quasiment inhabitables pour la vie humaine, avec la présence de la mouche tsé-tsé, et sont dédiées à la vie sauvage et aux autochtones. Les tribus Samburu et Maasaï vivaient dans ces lieux et les respectaient, bien plus que les blancs qui y organisaient parfois de grandes chasses pour ramener des trophées.

Une logistique sur-mesure

Toute l'équipe du film, mais aussi la famille, les six enfants de Gérard Vienne, et une institutrice, venaient cohabiter dans un camp pour deux années. Les pistes étaient très difficiles d'accès. Le directeur de la réserve larguait le courrier quand il passait avec son avion bimoteur. Nous croisions quelquefois des Maasaï, mais c'était très rare de voir des activités humaines. Cet endroit était magique, à la fois pour une initiation au cinéma, mais aussi pour une immersion dans la nature encore préservée.

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TOURNAGE DU FILM LA GRIFFE ET LA DENT © LES CINÉASTES ANIMALIERS ASSOCIÉS

Le matériel pour le tournage était arrivé par bateau au port de Mombasa. Tout avait été spécialement fabriqué pour le tournage afin de relever un défi : tourner pour la première fois dans la nature la nuit. Pour ce faire : un groupe électrogène de trois tonnes installé dans une remorque avec un projecteur surpuissant restituant la lumière du jour, et une caméra prête à filmer à l'arrière du camion. Dans un second véhicule : une potence articulée permettant de faire des suivis et des travellings, comme un steadycam géant. Les affûts se déroulaient principalement autour de marigots, là où les bêtes s'abreuvent, et près de charognes où l'odeur de la mort attirait les animaux.

Le matin du monde

Dans ces grandes réserves, les animaux sont venus à leur rythme. D'abord il y a eu les éléphants, ensuite les phacochères, les antilopes, puis les lions et toute une faune foisonnante que je découvrais pour la première fois dans son milieu naturel. Grâce à ce dispositif, nous pouvions documenter des comportements jamais captés auparavant, comme des chasses de nuit, des mises bas ou des migrations extraordinaires allant de la Tanzanie au Kenya. C'était la découverte de pans de nature entiers avec des millions d'animaux de la savane du Serengeti et du Masai Mara. Herbivores, carnivores, charognards… Chaque animal a sa place et complète la chaîne alimentaire. C'est une fausse idée de croire que les prédateurs sont voraces car la chasse est dure et les orgies sont rares. Cette interdépendance amène un équilibre où chaque être vivant prend seulement le nécessaire pour sa survie. La plaine se transforme au rythme des éléments et les animaux se déplacent en fonction de la pousse des végétaux. J'ai eu l'impression d'être au matin du monde.

Prendre le temps d'observer et de comprendre

Quand on arrivait dans les réserves, Gérard Vienne et François Bel nous disaient "On ne tourne pas pendant une semaine. Vous ne tournez pas, vous observez." C'était comme un livre qui s'ouvrait pour nous et une attention qu'il fallait développer. Après avoir regardé la nature, on voyait les signes, où il allait se passer quelque chose et ce qui allait se passer sur cette immense scène sauvage.

Il y avait vraiment chez Gérard Vienne et François Bel une passion du bricolage au service de l'image et de l'immersion, autant que pour la nature. Aujourd'hui, les jeunes cinéastes sont envoyés avec une caméra au bout du monde et on leur demande de ramener de supers images. Ce qu'ils font d'ailleurs très bien, ce n'est pas une critique, mais il me semble qu'il y a beaucoup de pression au niveau des productions pour faire un film rapidement. Cette différence de temporalité induit l'opportunité de comprendre, de se mettre à la place des animaux, et de se fondre pour éviter de déranger et découvrir des scènes magnifiques. Maintenant, il y a beaucoup de trucages pour être plus efficace, pour gagner du temps et faire "mieux". Je pense notamment à l'utilisation d'animaux "imprégnés", habitués à l'humain. Le deuxième écueil aujourd'hui, c'est qu'il y a une telle démographie que les endroits un peu privilégiés sont très convoités par le tourisme et le territoire des animaux sauvages se réduit. Avant nous regardions où étaient les vautours pour savoir où étaient les lions, maintenant nous regardons où sont les touristes pour savoir où sont les lions. Paul Watson, avec qui j'ai tourné le film L'oeil du cachalot, me disait aussi "Au début l'humain était entouré par les animaux sauvages, maintenant c'est l'humain qui entoure les animaux sauvages".

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IMAGE EXTRAITE DU FILM LA GRIFFE ET LA DENT © BRUNO VIENNE

D'expédition en expédition

J'ai continué ma carrière de cinéaste animalier en intermittence car les tournages ne durent qu'un temps. J'ai fait d'autres petits boulots, pas toujours dans le cinéma. J'ai travaillé pour des émissions pour la télévision scolaire qui avaient pour but de donner envie de lire aux jeunes. Puis mon oncle Gérard Vienne m'a proposé de repartir avec lui en Afrique, dans la réserve de l'Akagera au Rwanda pour une série d'Antenne 2. Lors d'une autre expérience, toujours au Rwanda, nous avons croisé la célèbre primatologue Dian Fossey et une de ses élèves qui étudiait un groupe de gorilles sur le mont Bisoke. C'est sur ce volcan que nous avons relevé le défi de faire des plans en montgolfière, c'était bien avant l'invention du drone, un vrai challenge.

Je suis devenu réalisateur et chacun de mes films m'a marqué à sa façon. D'abord, mon premier, tourné au Tibet en suivant un lama tibétain qui revenait dans son pays après trente ans d'exil, Retour au Kham. Mon deuxième, Frère loup, sur la réhabilitation de l'animal. Puis aussi, Sur la trace de l'ours à lunettes, une expédition menée à dos de cheval et de lama sur les contreforts des Andes au Pérou. J'ai aussi fait des films sur le bouddhisme tibétain auquel je suis sensible, comme L'enfance d'un maître. Je me rends bien compte de la chance que j'ai eu d'aller dans des endroits tous plus incroyables les uns que les autres.

Le voyage qui m'aura sans doute le plus marqué est celui de mon film Prisonniers volontaires de la banquise, où j'ai fait partie de la dérive arctique du bateau Tara pendant neuf mois. Cette expérience à vocation scientifique nous a fait éprouver la banquise et la tourmente de l'hiver polaire. Toute l'équipe avait signé une décharge car ce n'était pas possible de venir nous récupérer, c'était la glace qui décidait pour nous. Autour, des aurores boréales et des Ours blancs, le silence entrecoupé seulement par les bruits inquiétants des plaques de glace qui s'entrechoquent et font pression sur la coque du bateau. Pour moi, le cinéma est comme une peinture en mouvement. C'est un mouvement de la vie qu'on peut transmettre à nos congénères. J'aime ramener des images et raconter une histoire comme le font les conteurs.

photoPREMIER HIVERNAGE DE TARA © BRUNO VIENNE

L'EXPÉRIENCE AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE

J'ai beaucoup entendu parler du Festival de Ménigoute avant de pouvoir y venir. D'abord par mes compères Philippe Barbeau et Martine Todisco, ingénieur.es du son dans le domaine du cinéma animalier. Aussi parce que l'un de mes films avait été sélectionné alors que j'étais en expédition il y a plusieurs années. La première fois que j'ai eu l'occasion d'y participer, c'était en 2022, grâce à la Fondation François Bel dont je fais partie avec Catherine Sauvin et Patrick Ladoucette. Nous avons diffusé La Griffe et la Dent et il y avait plus de mille personnes dans la salle, c'était magique. L'année suivante, nous avons fait la même chose avec Le territoire des autres. J'ai été frappé par l'ambiance grandiose de ce Festival. On y rencontre des personnes passionnées qui font exister l'événement et qui partagent leurs connaissances.

L'oeuvre découverte au Festival de Ménigoute

J'ai eu l'occasion de voir le beau film qu'a présenté la promotion sortante de l'IFFCAM et que nous avons soutenu avec la Fondation François Bel, Sans faire de vagues réalisé par Capucine Binczak et Florent Rocchi. J'ai beaucoup aimé la qualité du film et voir l'intérêt des festivalières et des festivaliers. Il y a une vraie transmission de la passion du cinéma et de la nature.

La rencontre faite au Festival de Ménigoute

Bravo à Dominique et à Marie-Christine Brouard qui ont fondé le Festival, et aussi à toutes les personnes qui le font durer depuis bientôt quarante ans. L'accueil est toujours très sympathique et j'apprécie vraiment ce côté humain et toujours d'attaque à défendre la nature, je trouve ça magnifique.

POUR ALLER PLUS LOIN

La recommandation

J'encourage à continuer à voir davantage de films sur la nature et à en créer et agrandir les fenêtres de diffusion. Il y a de nouveaux cinéastes, comme les élèves de l'école de l'IFFCAM, qui font de très belles choses. Je crois que ce qui importe c'est de comprendre que ce n'est pas la technique qui compte et qu'à un moment donné elle nous dépasse. Il faut sentir que la nature nous nourrit et que nous en faisons partie.

L'actualité

Cette année, je préside le jury de la 40e édition du Festival de Ménigoute. C'est toujours agréable de rencontrer d'autres professionnel.les et de confronter nos points de vue. Je ne suis pas dans le jugement, plutôt dans l'accueil pour honorer la confiance que vont nous faire ces réalisatrices et ces réalisateurs. Je sais la valeur de chacun de ces films et de tout ce qu'on peut mettre de soi lors du processus de création avec une équipe. Chaque film mérite le grand prix pour le challenge que ça représente, mais ce que j'aime remarquer et mettre en valeur c'est l'innovation et ce qui surprend le public.



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UN VENT FRAIS ET ENGAGÉ DANS LE CINÉMA ANIMALIER

La soirée spéciale en partenariat avec la Fondation François Bel s'ouvrira le jeudi 31 octobre avec le documentaire Paul Watson, l'œil du cachalot, réalisé par Bruno Vienne en 2001. Le Festival de Ménigoute et le président du Jury de la 40e édition s'allient pour continuer à soutenir le capitaine Paul Watson, toujours emprisonné au Groenland suite à un mandat d'arrêt du Japon pour ses entraves à la pêche aux baleines. Depuis sa rencontre avec un cachalot agonisant, le militant a fait la promesse de faire cesser cette chasse de son vivant, encore autorisée par le Japon, la Norvège et l'Islande : "Nous sommes les pirates de la compassion face aux pirates du profit".

photo PAUL WATSON © BRUNO VIENNE

La seconde partie de soirée sera tout aussi engagée avec l'avant-première de la 18e promotion des Zèbres de l'IFFCAM pour parler cohabitation avec le loup au travers de leur film Amenaza. C'est la tradition après deux années d'études de cinéma animalier à l'école de l'IFFCAM : la réalisation d'un film collectif et autoproduit au travers de l'association Les amis de l'IFFCAM par la promotion fraîchement diplômée. Une grande et belle initiative soutenue par la Fondation François Bel qui encourage vivement les jeunes générations à s'emparer de l'image pour défendre la nature.



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EXTENSION À L'IFFCAM

L'IFFCAM fait aussi son Festival avec son célèbre FIFOFF, le festival off des élèves à l'école de cinéma animalier qui montrent leurs dernières réalisations du mercredi 30 octobre au samedi 2 novembre de 9H à 12H et de 15H30 à 17H30.

L'école et Ecoprod co-organisent une réflexion autour des enjeux de préservation de la biodiversité sur les tournages cinéma et télévisuels le jeudi 31 octobre de 10H à 12H et de 14H à 16H.

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L'association Camera Natura est également un partenaire de longue date présent au Festival à retrouver dans ses différentes activités autour de la photographie animalière.



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PROLONGEMENT À VASLES

Pour prolonger le plaisir des cinéphiles, le cinéma de la commune voisine de Vasles rediffuse certaines productions en présence des équipes de films pendant le Festival de Ménigoute et propose plusieurs expositions et animations. Une occasion exceptionnelle pour échanger avec les autrices et les auteurs du cinéma animalier d'aujourd'hui avec cette continuation de programme à Vasles.

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PROJECTION AU CINÉMA DE VASLES © CAMILLE GAUTHERON



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FRENCH CONNECTION

Le Festival de Ménigoute continue de développer son réseau professionnel pendant l'événement en collaboration avec La French Connection en proposant un workshop dédié aux lignes éditoriales des télévisions françaises. Plusieurs personnes chargées de programme viendront présenter aux professionnel.es leurs attentes éditoriales autour du documentaire animalier et environnemental le jeudi 31 octobre de 14H à 17H à l'espace Le Plateau sous le forum du Festival de Ménigoute.

photo RENCONTRES PROFESSIONNELLES DE LA FRENCH CONNECTION © CAMILLE GAUTHERON



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ODE AUX SALAMANDRES

SalamandreTV, c’est le pari ambitieux né il y a plusieurs années de créer une plateforme de films dédiée aux documentaires animaliers. Une fenêtre grande ouverte sur la vie captivante des grosses ou des petites bêtes qui vivent autour de chez vous. Vous pourrez visionner dès à présent plus de 150 films d’un cinéma indépendant et engagé, des documentaires pour la famille et pour les amoureuses et amoureux de grands espaces, des fresques animalières, la série Nos amis sauvages et bien plus encore ! Chaque semaine, une nouveauté vient enrichir le catalogue. 

La Salamandre c’est aussi 3 magazines nature pour partir à la rencontre d'animaux petits et grands ou de plantes incroyables :

  • Petite Salamandre (4-7 ans) pour faire découvrir aux petits la nature de manière ludique et éducative
  • Salamandre Junior (8-12 ans) pour donner envie aux enfants d'explorer et de protéger la nature
  • Revue Salamandre pour plonger au cœur d'une nature insolite tout près de chez vous.

Ces 3 revues sont réalisées par des personnes professionnelles engagées dans une approche environnementale exemplaire. Découvrez les offres spéciales Ménigoute !

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C'EST L'HEURE D'EUROBIRDWATCHER

La migration est aussi un grand spectacle et il a lieu chaque année à l’automne. À l’occasion des Journées européennes de la migration, la LPO vous convie à l'Eurobirdwatch du 5 au 13 octobre. L’événement européen de BirdLife International propose une multitude d’activités sur des sites propices à l’observation de ce phénomène fascinant. Retrouvez toutes les animations organisées sur le site dédié à l'évènement.

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FIFO Distribution propose de découvrir ou de redécouvrir dans son catalogue un grand classique du cinéma animalier avec le film La Griffe et la Dent, véritable chef d'œuvre du genre réalisé par Gérard Vienne et François Bel.

Disponible chez fifo-distribution.com !




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Le Festival de Ménigoute sur Internet

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Septembre 2024 -  Archives des anciennes newsletters
Rédaction : Louise Jacquot  -  Conception : Tabula Rasa

L’association MAINATE organise le Festival International du Film Ornithologique de Ménigoute

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM ORNITHOLOGIQUE DE MÉNIGOUTE
Association MAINATE, 16 bis, rue de Saint Maixent - BP 10 005 - 79340 Ménigoute
Tél. : 05 49 69 90 09 - contact@menigoute-festival.org
https://www.menigoute-festival.org